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 Un jour j'irais à New-York avec toi toutes les nuits déconner ** Manu ♥

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Cloé Neverson

Cloé Neverson

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MessageSujet: Un jour j'irais à New-York avec toi toutes les nuits déconner ** Manu ♥    Un jour j'irais à New-York avec toi toutes les nuits déconner ** Manu ♥  EmptyJeu 15 Fév - 17:16

Un jour j'irais à New-York avec toi toutes les nuits déconner
Manu & Cloé

Une soirée comme parmi tant d'autres, Dylan et Marabeth sont venues nous rendre visite à l'appartement que nous partageons avec Naila. Comme toujours nous nous étions fait livrer des pizzas et nous jouons à présent aux cartes quand Dylan se met à hurler « UNO ! » . D'un bond elle se lève et exécute une danse de la victoire. « Comment c'est possible ?! Il y a deux minutes tu avais plus de dix cartes dans ta main ! » Moi, mauvaise perdante ? Jamais ! Je ne supporte juste pas que les autres gagnent. Et voilà qu'au tour suivant Dylan réussi à placer sa dernière carte. J'explose alors et lance mon jeu de carte. « T'as toujours une chance de cocu ! » Oui on est comme ça chez les Neverson, on parle cru et on est assez vulgaire. Et encore je suis l'une des plus softs de la famille. « Moooh, sois pas mauvaise perdante Clopinette ! » essaie de m'attendrir Dylan en venant me prendre dans ses bras. « Je suis prête à mettre ma main à couper que t'as triché ! » je l'accuse sans savoir. Mais ça ne serait pas très étonnant de sa part. Ma frangine m’étouffe un peu plus contre elle dans le but de me faire taire avant de me faire un croche patte pour me faire tomber. « Héééééééé ! » Marabeth et Naila assistent au spectacle en riant et ne daignent même pas me filer un coup de main. MERCI DU SOUTIEN LES FILLES HEIN ! Vexée je grommelle avant de quitter la pièce en boudant. Dans la cuisine je me prépare un thé seulement pour m'occuper les mains et me donner contenance. Mon eau n'a même pas commencé à faire de petites bulles dans la casserole que j'entends de petits pas derrière moi. Trois paires de bras m'enlacent alors et je suis obligée de retrouver le sourire en rendant l'étreinte à mes sœurs. Il faut savoir profiter de l'amour que l'on reçoit et pour rien au monde je n'échangerais ma famille contre une autre. J'ai beau avoir été adoptée, c'est auprès des Neverson que je me sens chez moi et moi-même.

C'est après encore deux manches (et deux crises de nerfs parce que j'ai encore perdu) que Marabeth et Dylan sont rentrées chez elles retrouver leurs maris et enfants respectifs. Petites dernières Naila et moi sommes les seules célibataires. A vingt quatre ans cela ne me pose pas plus de problèmes que ça. Sans compter que j'ai la chance d'être tata et que je commence enfin à réaliser mes rêves de percer dans la musique. Pour l'instant cela me suffit à me rendre heureuse. L'esprit léger après cette belle soirée, je me prépare donc à me coucher. Tendrement je souhaite bonne nuit à ma sœur avant de me brosser les dents.
Comme il me faut toujours un peu de temps avant de m'endormir je m'écroule sur mon lit avec mon carnet à texte et ma guitare. Depuis quelques mois je travaille à composer mes propres musiques. Tel un journal intime, ce tas de feuilles est mon jardin secret et personne n'en n'a jamais lu la moindre ligne. Sous la lumière des étoiles je me mets à chantonner quand un bruit contre ma fenêtre trouble ma quiétude. Un peu inquiète, je n'ose pas bouger jusqu'à ce qu'il survienne à nouveau. Une voix prononce mon nom dans la nuit et je décide de m'approcher. Les mains tremblantes j'ouvre enfin la fenêtre et crois apercevoir une silhouette familière. « Manu ? » A présent sous l'éclairage public je reconnais effectivement le sourire énigmatique de la jeune-femme. « Qu'est-ce que tu fais ici à une heure pareille ? » Et sans même me prévenir. Je tourne la tête en direction de mon radio réveil. Il affiche plus de minuit. « Je viens t'ouvrir ». Alors que je m'apprête à descendre mon amie me fait signe que ce n'est pas la peine et commence à escalader l'échelle de secours. Arrivée à ma hauteur elle grimpe simplement sur le rebord et pénètre à l'intérieur après que j'ai eu le réflexe de reculer. « Salut » me lance t'elle seulement. Ce à quoi je répond à mon tour un simple « salut », un peu gênée. Je n'ai qu'à mieux regarder Manu pour voir qu'elle n'a pas l'air bien. Elle n'a encore rien dit, rien fait, elle n'en n'a pas besoin. Son attitude et ses yeux la trahissent. Jamais encore je ne l'ai vue dans cet état mais je me sens comme le devoir de la réconforter. Et comme je n'ai jamais été très douée pour ça et que je sens que la jeune-femme n'est pas prête à parler je propose naturellement « et si on sortait faire un tour ? » . Nous évader là, maintenant me paraît une bonne alternative. Comme s'il était naturel de faire une balade à minuit passé. J'ai d'ailleurs déjà une idée de l'endroit où je veux emmener Manu. Au Walk of Fame. Parce que je sens qu'elle a besoin de retrouver un peu de magie en ce monde.
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Emmanuelle Darcy

Emmanuelle Darcy

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MessageSujet: Re: Un jour j'irais à New-York avec toi toutes les nuits déconner ** Manu ♥    Un jour j'irais à New-York avec toi toutes les nuits déconner ** Manu ♥  EmptyJeu 15 Fév - 18:39

Un jour j'irais à New-York avec toi toutes les nuits déconner
Manu & Cloé

Assise autour de la table familiale, je fixe mon assiette d’un regard vide. J’entends le bourdonnement des conversations de ma famille, mais leurs mots me glissent dessus. Je n’ai pas envie de faire semblant d’être de leur monde, avec les années ça devient de plus en plus dur. Si je suis encore là, à participer à leurs jeux hypocrites, c’est pour Leo et seulement pour elle. Du haut de ses 11 ans, c’est bien la seule qui me comprend et m’accepte. A croire que sa maladie l’a aidé à y voir plus clair dans tous nos pseudos principes à la con.

- Emmanuelle ! Je sursaute en entendant mon père hausser le ton et relève les yeux vers lui. J’arque mes sourcils, et esquisse un sourire narquois.
- Quoi ?
- On ne dit pas quoi. On dit pardon.
- Quoi ? Je répète d’un ton nonchalant, presque amusée quand je vois mon père se renfrogner. Il aimerait sûrement m’insulter, mais sa pseudo bienséance l’en empêche. Dieu ne permet pas à un père de traiter sa fille de conne, j’imagine.
- Nous étions en train d’annoncer, avec ta mère, que le week-end prochain les Harper venaient dîner. Et ils amènent leur fils, Doug. Ca serait l’occasion pour vous de faire connaissance. Nous en avons discuté avec les Harper, Doug est de ta génération et vous arrivez à un âge où le mariage…
- Le mariage ? J’interromps soudainement en haussant la voix. Je laisse échapper un ricanement. Vous voulez me marier à cette espèce de fils à maman débile ? Alors de un, on est plus au Moyen-Âge. Et deux, faudrait p’t’être ouvrir vos oreilles quand je parle. Je suis pas de ce bord là.
- Tu ne vas pas recommencer avec ta lubie ! Balance soudainement ma mère. Mon regard se fait soudain noir, et je sens tous mes frères et sœurs baisser la tête, bien conscients de la tempête qui se prépare.
- Ma lubie ? MA LUBIE ? Je me lève brutalement, frappant du poing sur la table. Que ça vous plaise ou non, j’aime les femmes. Ce n’est ni une lubie, ni une passade. Et vous aurez beau vous acharner sur moi, ça ne changera jamais. C’est clair ? Alors je n’épouserais pas le fils Harper de mes couilles. Déjà parce qu’il a une bite et non un vagin, et ensuite parce que je suis déjà avec quelqu’un ! Et tiens, vous savez quoi ? Elle sera là le week-end prochain. Sur ce, bonne soirée et étouffez vous avec petits pois, si Dieu le veut bien ! Je crache en balançant violemment mon assiette desdits petits pois au sol, avant de quitter la pièce d’un pas furieux. J’attrape ma veste au vol, et sors de la maison en claquant brutalement la porte.

Ce n’est qu’une fois dehors, loin de cette maison affreuse, et seule, que quelques larmes viennent rouler sur mes joues. Je les essuie rageusement. J’ai beau jouer les dures, le comportement de mes parents me blesse. Non contents de réussir à briser ma dernière relation amoureuse, il faut encore qu’ils essayent de me changer. Je ne sais même pas pourquoi j’ai prétendu avoir quelqu’un… C’est totalement faux, mais je voulais leur prouver qu’ils ne peuvent pas me contrôler. C’est ma vie, et j’en ferais ce que je veux.

J’erre dans les rues de la ville, les mains dans les poches. Je ne sais pas combien de temps je marche, mais la solitude commence à me peser. En ce moment, j’ai du mal à rester seule avec mes pensées. Je sais qu’il est tard, mais mes jambes prennent sans réfléchir la direction de l’immeuble de Cloé. J’ai besoin de voir quelqu’un, et c’est elle qui s’impose dans mon esprit. J’arrive rapidement devant son bâtiment, et je ramasse un petit caillou que je jette contre sa fenêtre. J’attends quelques secondes avant de recommencer.
- Cloé ! Je crie. La fenêtre finit par s’ouvrir et je vois la jeune femme apparaître.
- Qu’est-ce que tu fais ici à une heure pareille ?
- Je m’apprêtais à jouer du ukulélé sous ta fenêtre. Je réplique en haussant les épaules. Cloé m’annonce qu’elle va venir m’ouvrir mais je lui fais signe de ne pas bouger et escalade l’échelle de secours. Il me faut à peine quelques secondes pour me retrouver dans la chambre de la jeune femme.
- Salut. Je balance, incapable de prononcer autre chose. Maintenant que je suis là, les mots se coincent dans ma gorge. Je n’ai pas l’habitude de parler de mes problèmes et pourtant, je ne veux pas être toute seule… J’ouvre la bouche, mais je reste silencieuse. Je détourne le regard, agacée par moi-même et un peu désemparée sur les bords, je dois l’admettre. Mais ce qu’il y a de bien avec Cloé, c’est qu’elle est Cloé justement. Et qu’elle comprend sans un mot.
- Et si on sortait faire un tour ? Je hoche la tête et ressort par la fenêtre sans même lui demander si elle préférerait sortir par la porte d’entrée. J’ai besoin de jouer les acrobates pour me vider la tête.

On se retrouve rapidement dehors, marchant côte à côte. Les mains dans les poches, je shoote dans les petits cailloux sur mon passage.
- On va où ? Je demande. Cloé a l’air d’avoir une idée, alors je la suis. Je me suis engueulée avec mes parents. Je finis par lâcher, en soupirant. J’ai balancé une assiette en porcelaine par terre et je leur ai souhaité de s’étouffer avec leur dîner… J’ajoute avec un léger rire désabusé. Ils vont certainement m’asperger d’eau bénite quand je rentrerais en pensant que je suis possédée par le démon. Un jour ils vont essayer de m’exorciser, j’en suis sûre. Je ronchonne avant de regarder mon amie. Tu vas bien toi ? Je t’ai pas réveillé au moins ? Je pose la question, sans pour autant m’excuser si c’est le cas. A vrai dire, je ne m’excuse quasiment jamais.
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Cloé Neverson

Cloé Neverson

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MessageSujet: Re: Un jour j'irais à New-York avec toi toutes les nuits déconner ** Manu ♥    Un jour j'irais à New-York avec toi toutes les nuits déconner ** Manu ♥  EmptyMer 9 Mai - 14:53

Un jour j'irais à New-York avec toi toutes les nuits déconner
Manu & Cloé

Ouf ! ça fait un bien fou de se poser ! J’adore mes sœurs mais elles ont de l’énergie à revendre et me retrouver un peu seule avec ma musique avant de dormir me fait du bien. Je n’ai jamais été du genre solitaire mais la boute-en-train que je suis a besoin de ses moments de répit, de quiétude et de caaaaalme. Attendez une seconde… j’ai comme l’impression d’avoir entendu un bruit et peut-être même une voix. « Cloé ! » Ah oui, c’est bien moi ! D’un bond je descend de mon lit pour me diriger à la fenêtre et découvrir « Manu ? » ça pour une surprise !
« Qu’est-ce que tu fais ici à une heure pareille ? »
« Je m’apprêtais à jouer du ukulélé sous ta fenêtre. »
« Oh, on revisite la scène du balcon ? C’est beaucoup trop romantique, je suis sous le charme. »
Mon humour a toujours été à la fois ma meilleure arme et un moyen d’autodéfense. Quand je suis mal à l’aise je fais des blagues nulles. Et quand je veux réconforter mes amis… eh bien je fais des blagues encore plus nulles. Je suis comme ça ! Mais je crois qu’il va en falloir un peu plus pour faire sourire Manu ce soir, elle n’a pas l’air dans son assiette. Avec admiration je la regarde grimper le long de la gouttière. J’ai toujours rêvé de savoir faire ça mais ma maladresse légendaire m’empêche de prendre ce genre d’initiatives.
Une fois la jeune-femme face à moi nous nous regardons dans le blanc des yeux en échangeant les politesses habituelles. Entre nous soit-dit, on a déjà été plus loquaces. Mais là je sais pas, il y a comme un malaise qui pourtant ne devrait pas avoir lieu d’être, ce qui veut dire que Manu va encore plus mal que je ne le pensais. D’habitude nous sommes de vraies pipelettes. Il est temps de sortir les grands moyens. « Et si on sortait faire un tour ? » Oui voilà, ça c’est une bonne idée. Prendre l’air, ça fait toujours du bien ! Manu semble approuver mon plan car j’ai à peine le temps de la voir hocher la tête qu’elle s’est déjà enfuie par la fenêtre. « Tu ne m’en voudras pas si j’opte pour la porte d’entrée ? » je demande dans le vide. Qui ne dit mot consent hein !

Une fois dehors il nous faut encore quelques secondes avant de briser la glace. Mais finalement c’est Manu qui se lance. « On va où ? » « Hmm, Je n’sais pas, que feraient Roméo et Juliette à notre place après s’être enfuis ? » je me demande à voix haute en référence à ma blague de tout à l’heure. « Probablement qu’ils fileraient à l’église se marier et consommer leur amour ! » D’un air malicieux je souris avant de prendre mon sac à dos et de l’ouvrir. « Pour nous, je miserais plus sur l’option Bonnie and Clyde alors j’ai pris ça ! » Je sors une bouteille de rhum à moitié vide pour la tendre à Manu. Oui, de tous les duos célèbres je nous imagine plus comme les complices qu’étaient ces deux-là, prêts à braver vents et marées pour faire régner le crime ! D’ailleurs c’est le moment où mon acolyte révèle enfin ses ennuis ! « Je me suis engueulée avec mes parents. J’ai balancé une assiette en porcelaine par terre et je leur ai souhaité de s’étouffer avec leur dîner… » ça c’est diabolique ! Pourtant je souris. « Ils vont certainement m’asperger d’eau bénite quand je rentrerais en pensant que je suis possédée par le démon. Un jour ils vont essayer de m’exorciser, j’en suis sûre. » « Tu crois que je pourrais assister au spectacle ? » je plaisante.

« Tu vas bien toi ? Je t’ai pas réveillé au moins ? » ça c’est tout Manu, elle te lâche une bombe pour ensuite détourner totalement la conversation. « Oh tu me connais, j’étais loin de dormir il est encore tôt. Mes sœurs sont venues à la maison, on a joué, j’ai failli les étriper. Bref c’était une soirée normale. » Et comme pour balayer la discussion je joins le geste à la parole. « Revenons-en plutôt à ce qui était intéressant ! Pourquoi est-ce que vous vous êtes engueulés ? Attends ! … laisses-moi deviner. » Je croise les bras et fais mine de me concentrer, à la Sherlock Holmes. Pour m’aider à sonder l’âme de la victime, je passe devant elle plutôt qu’à ses cotés et pour pouvoir l’observer je me mets à marcher à reculons. « Tu es arrivée en retard pour le dîner ? » Non, ça ce n’est pas assez pour déclencher un cataclysme ! « Tu as chanté du Britney Spears pendant le repas ! » Pour des oreilles chastes comme celles des parents de Manu, Britney Spears est une vraie catin ! Mais ce n’est apparemment pas ça non plus. « Bon… je déclare forfait je t’écoute. Mais je sais pas pourquoi je suis sûre que c’est une histoire atroce. Assez pour que tu aies prononcé au moins 10 gros mots par minute. » A notre première rencontre j’avais été époustouflée par la vulgarité dont été capable Manu mais sa véritable nature m’avait beaucoup fait rire. Comme pour l’inciter à parler je lui prends la bouteille des mains pour en boire une gorgée. Je me retourne aussi pour voir de nouveau où je marche. « On arrive ! » A seulement 100 mètres de nous on pouvait déjà observer les célèbres étoiles du Walk of Fame. « J’adore venir ici la nuit, y’a jamais personne. C’est comme si toutes ces stars pouvaient t’aider à résoudre tes problèmes ou pouvaient assister à tes frasques nocturnes. »
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